Inspecteur portugais accuse :

"La police britannique travaille uniquement sur ce que prêtent et convient au couple McCann"


L’Inspecteur Gonçalo Amaral, coordinateur de l’enquête à la disparition de Madeleine, en déclarations au Diario de Noticias, accuse "la police britannique de travailler uniquement sur ce que prétend et convient au couple McCann".

L’inspecteur critique les dernières informations divulgues par la presse britannique qui font état d’un email anonyme accusant une ex fonctionnaire de l’Océan Club d’avoir enlevée la petite britannique pour se venger du complexe touristique Mark Warner et ses propriétaires.

"Cette situation est complètement mise de cote, elle n’a aucune crédibilité", affirme le responsable do Département d’Investigation Criminelle (DIC) de la Police Judiciaire de Portimão. Gonçalo Amaral va plus loin et accuse la police britannique "d’investiguer des informations créés et travaillées par les McCann, oubliant que le couple est suspect de la mort de leur fille Madeleine".

Normalement silencieux, l’arrivée de l’inspecteur aux devants de la scène est déjà considérée par les commentateurs comme une preuve de sécurité et confiance dans les résultats de l’enquête, s’expliquant, probablement, par l’arrivée des résultats des examens effectués au Forensic Science Service (FSS) de Birmingham.

Toujours au Diario de Noticias, Gonçalo Amaral affirme que "l’histoire de l’enlèvement par vengeance é un fait de plus travaillé par les McCann", soulignant que l’Océan Club "se trouve à Praia da Luz et non à Londres, ce que signifie que tout ce qui concerne le complexe touristique et respectives fonctionnaires (actuels ou anciens) à été ou est investigué par la Police Judiciaire".

"Ce n’est pas un email, en plus anonyme, facile de repérer d’où il est parti, qui va nous distraire de notre ligne d’investigation", conclu l’inspecteur.

Une source de la police britannique à confirmé à SOS Madeleine que l’email, dans un anglais parfait, à été envoie depuis l’Espagne au site officiel du Prince Charles.

L’email, signé avec un faux nom - Esméralda Luego -, affirmait que Madeleine serait retenue dans un hôtel à Lisbonne

0 commentaires: