Sûreté marrocaine : témoignages n’on rien donné

“Nous avons travaillé en collaboration avec la police portugaise, soit directement, soit via Interpol. Nous avons investigué plusieurs témoignages, et même des demande de rançon qui on été adressés à la police portugaise, et rien… Rien ne permet d’affirmer que la petite fille soit rentré au Maroc », affirme un responsable national de la Sûreté marocaine.

Au Maroc, les autorités on bien investigué les diverses pistes lancées dans l’affaire de la disparition de Madeleine McCann. On parle de plusieurs pistes car, depuis le début mai, plusieurs témoignages on bien été adressés à la Police Judiciaire mais aussi à la sûreté marocaine.

Marie Olli (devenu publiquement Pollard après qu’on à appris l’identité de son mari et sa possible relation avec les McCann), à dit, en Espagne, avoir vue Madeleine en compagnie d’un homme dans une station-service au sud de Marrakech. C’est ce témoignage qui a amené les services de sécurité marocains sur les traces d’un homme de 45 ans, qui pourrait être Allemand ou Britannique.

La sûreté marocaine à encore pu établir clairement que Marie Olli s’était trompé ou avait menti car elle n’aurait pas pu voir Maddie dans la station-service près de l’Hôtel Ibis Moussafir à 100 mètres de la gare, comme elle l’avait prétendu initialement. La sûreté à bien identifié la station-service comme étant Afriquia, à la sortie sud sur la route de Casablanca.

Contrairement à ce qu’une partie de la presse à pu publier, la sûreté à bien saisi plusieurs enregistrements vidéo : dans les stations essence mais aussi dans les hôtels Ibis, car il y en à deux.

« Le ministre de l’Intérieur nous a assuré que les autorités feraient tout leur possible »

Malgré l’enquête mené par la sûreté marocaine, rien n’a permis, après ces quatre mois, d’affirmer que Madeleine aurais été un jour au Maroc, ceci malgré la forme sérieuse comme le pays avait accueilli l’enquête et les parents.

Gerry McCann, à la fin de son entretien avec les autorités marocaines, avait affirmé : « Le ministre de l’Intérieur nous a assuré que les autorités feraient tout leur possible pour nous aider à retrouver Madeleine et qu’elles coopèreraient internationalement avec les autres services de sécurité…Kate et moi sommes convaincus, après avoir rencontré des responsables marocains et des ONG, que si Madeleine se trouvait au Maroc, elle sera retrouvée».

« Nous avons reçu les parents et nous avons lancé immédiatement l’enquête pour vérifier tout les témoignages », affirme une source de la sûreté marocaine, rajoutant encore : « Malgré nos efforts et la coopération avec les autorités en Europe, nous n’avons pas trouvé la moindre trace de leur fille ».

Plusieurs sources on confirmé que l’enquête a bel et bien été mené au Maroc, ou plusieurs étrangers et nationaux, connus comme pédophiles ou comme ayant des liens à la pédophilie, on été suivis, contrôlés et interrogés, avec la rigueur pour laquelle sont connus les hommes de la sûreté marocaine.

Aujourd’hui le Maroc, comme d’autres pays, est surpris avec les propos rapportés par la presse britannique, affirmant que les McCann ne sont pas contents car la police portugaise n’aurais pas tenu compte du deuxième témoin, britannique lui aussi… Ceci malgré le fait que l’enquête au Maroc concerne les autorités marocaines et que les enregistrements video n’on pas pu corroborer les témoignages et encore moins la présence de Maddie dans les stations d’essence ou dans les hôtels Ibis.

«Selon nos investigations, aucune caméra, ni au port de Tanger ni sur les bateaux en provenance d’Espagne, ni à l’aéroport de Marrakech, n’a pu révéler le passage de la petite Maddie, dont les photos ont fait le tour du Maroc », confirme la sûreté.

À Tanger, un agent des Douanes marocaines, qui à participé activement à l’enquête, confirme que plusieurs investigations ont été faites dans le port de Tanger, où la Douane à procédé à l’interrogatoire de nombreux passagers, marocains et européens, sans aboutir à quoi que ce soit : « personne n’a reconnu la petite fille, personne l’a vue en compagnie d’un homme ou d’une femme ».

Duarte Levy (Huelva) & Paulo Reis (Algarve)

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