Suggestions et changements de Gordon Brown à la stratégie de campagne de « Findmadeleine »
« Combien de parents, qui sont passés par le malheur de avoir eu un enfant enlevé, on obtenu des conseillers payés par le gouvernement britannique ? » La question est soulevée par Moita Flores, un ancien Inspecteur-Chef de la Police Judiciaire, criminaliste réputé, scénariste réussi à la télévision et maire de Santarém, en contact téléphonique, hier, avec SOS Madeleine et Gazeta Digital.
C'était Tony Blair qui a envoyé l'avant-garde des fonctionnaires de gouvernement pour aider les McCann. Clarence Mitchell était le premier conseiller de presse de la famille McCann. Il est un ancien de la BBC qui, maintenant, se retrouve encore à la tête de l'unité de surveillance des médias, une création de Tony Blair. Mais le nº 10 du Downing Street a un autre occupant : Gordon Brown, un homme né et élevé à Glasgow, terre mère du clan McCann.
Le ralentissement de la campagne pour retrouver Madeleine c’était une suggestion du bureau du Premier-Ministre britannique, comme SOS Madeleine et Gazeta Digital on révélé, le 26 août. Deux jours plus tard, le Daily Express confirmait l’information: « Une source proche de la famille (McCann) confirmait qu’ils on parlé à Gordon Brown à plusieurs reprises et qu’ils on été conseillé qu’il était temps de faire marche arrière.»
Le Premier-Ministre britannique nouvellement désigné, qui avait pris fonctions le 27 juin, s’étais empressé de montrer son appui et engagement dans la campagne monté par le cercle d’amis des McCann avant même d’aménager à Downing Street. Le 16 mai, Gordon Brown a rencontré membres de la famille McCann et « s’est engagé à les aider dans les recherches de leur fille, disparue, Madeleine, par tout les moyens possibles», confirmait alors Sky New.
Clarence Mitchell l’à réaffirmé clairement à la presse, le 26 mai, que l'expression de Gordon Brown «par tout les moyens possibles » était plus qu’une promesse d'un politicien chevronné : « Je peux confirmer que plusieurs conversations téléphoniques ont eu lieu entre Gerry McCann et le chancelier Gordon Brown. Pendant ces conversations, Gordon Brown à offert à Gerry et Kate son appui total dans leurs efforts pour retrouver Madeleine, bien que les détails des conversations demeurent privés ", comme l’a confirmé le porte-parole pour la famille de McCann en déclarations au The Telegraph.
Une autre prestigieuse institution britannique, la famille royale, est venu au devant de la scène avec une expression forte et publique de soutien aux deux médecins, jusque la inconnus, de Rothley : le Prince de Galles et la Duchesse de Cornouailles on manifesté leur « grande préoccupation pour les parents » et l'héritier du trône britannique a dit que ses « pensées et prières » demeurent avec les McCann «pendant ce temps très difficile.»
Les médias et la police britanniques ajustent leur stratégie
Pendant que Gerry McCann annonçait avoir accepté le conseil de Gordon Brown «qu’il était temps de faire marche arrière» ; Les médias britanniques ont commencé une manœuvre tactique semblable. Le nombre de journalistes britanniques à Praia da Luz a été réduit et plusieurs d’entre eux ont été remplacés. On a permis aux des investigateurs portugais de la Police Judiciaire d'avoir une pause et de déjeuner tranquillement, car les journaux britanniques ont alors visé leurs armes sur la presse portugaise.
D’après un vieux proverbe chinois - tuer le poulet pour effrayer le singe - « Tal & Qual » à été le choix final. Gerry McCann a justifié sa décision de l’attaquer en justice parce que le journal hebdomadaire avait fait « une allégation sinistre (…) si sérieuse et loin de la marque » qu’il à senti qu'elle ne pourrait pa
s rester « incontestée ».
Son avocat portugais, Carlos Pinto de Abreu, était plus émoussé : « Que la presse s'est engagée dans un exercice terrifiant dans un scandale, rempli de rumeurs et commentaires sinistres qui n’on visé qu’une chose : vendre plus de temps à la TV et d'espace publicitaire dans les journaux. »
La semaine dernière, les agents de liaison de la police britannique ont été remplacés. Parmi les nouveaux, un professionnel avec une relation proche des responsables de Scotland Yard a remplacé Joe Sullivan, de l'équipe précédente. Ce changement « est un désastre qui peut affecter l’enquête», considère le criminaliste et ancien Inspecteur-chef de la Police Judiciaire, Moita Flores, qui critique le fait que les policiers britanniques « ont été autorises à participer activement à l’enquête, au lieu de fonctionner uniquement comme des agents de liaison ».
Le groupe d’experts qui travaillent étroitement avec Justine McGuiness, le nouveau conseiller et porte-parole de la famille McCann, qui a remplacé Clarence Mitchell, à maintenant l'aide d'un profileur et d'un spécialiste dans l'analyse de l'information, les deux arrivées récemment à Praia da Luz.
Le train à démarré
Des rapports contradictoires ont émergé dans les premières heures qui on suivi la disparition de Madeleine. Jill Renwick, une ami de la famille au Royaume-Uni à qui Kate McCann a parlé, au début de la matinée du 4 mai, à affirmé que la mère de Madeleine lui avait dit avoir recherché l'enfant «toute la nuit jusqu'à 4.30am ».
Mais Kate McCann, elle même à dit au Sunday Mirror, le 5 mai, qu'elle « n'avais jamais pensé une seconde » que Madeleine été parti toute seule: « J'ai su que quelqu'un avait été dans l'appartement en raison de la manière qu'il avait été laissé. Mais j'ai su qu'elle n’aurait pas parti toute seule vers l’extérieur de toute façon. Il n'y avait pas l’ombre d'un doute dans mon esprit qu'elle avait été enlevée. » Selon Jill Renwick, cité par The Guardian, la mère de Madeleine s'est également plainte que personne n'était là, aidant dans les recherches, que « tout le monde nous a laissés » et « qu’il y avait un seule policier devant la porte. »
John Hill, le directeur de l’Océan Club et une des premières personnes à arriver à l'appartement des McCann, après leur groupe d'amis, à indiqué au The Guardian, dans son édition en ligne le 4 mai, qu’environ 60 membres du personnel et clients du complexe avaient recherchée jusqu'à 4.30am tandis que la police informait les frontières, la police espagnole et les aéroports.
« Il y a un investigateur criminel ici, en charge de la situation, et environ 20 agents mais malheureusement il n’y a pas encore d’information, » affirmait John Hill.
Mais Jill Renwick à réagi rapidement. Elle « a téléphoné au large cercle d’amis des McCann, qui se sont mobilisé pour téléphoner à n'importe qu'ils pourraient penser et les prier d’aider. La sœur de Renwick à appelée quelqu'un qu'elle connaissait au CID, quelqu'un qui avait une liaison avec Des Browne, le Secrétaire de la Défense », selon The Guardian, dans son édition du 2 juin. Les contacts on commencé à fonctionner, la présentatrice Kirsty Wark de Newsnight sur BBC et le frère de Gordon Brown ont été alertés à propos de la disparition de Madeleine, dans les 24 heures qui on suivi.
Le vacancier Mark Warner, propriétaire de l’Océan Club, à eu son directeur général et directeur d'opérations pour le Royaume-Uni à Praia da Luz, le samedi 5 mai. Ils ont amené avec eux Alex Woolfall, à la tête du service de gestion de crises d'une des plus grandes sociétés au monde de relations publiques, Bell Pottinger. Woolfall à servi Monsanto pour traiter le scandale des récoltes génétiquement modifiées, au Royaume-Uni, en 1999.
Pendant presque deux semaines, il a dirigé la stratégie de médias, « assurant le contrôle et approvisionnement régulier en informations et images », comme l’a écrit The Scotsman: « C’était remarquable que dans les jours ou presque rien n’arrivait à Praia da Luz, les parents marchaient occasionnellement devant les cameras sans parler. C’a l’air d’un petit détail, mais c’était assez pour donner aux cameras des images fraiches, et de quoi mettre à jour un bulletin d'informations. » Alex Woolfall est rentré au Royaume-Uni un jour avant « que le "Foreign and Commonwealth Office installe un de ses propres conseillers de presse comme contact officiel auprès de la famille McCann à Praia da Luz. » La partie la plus difficile du travail était fini, le train roulait et gagné de la vitesse.
Le laboratoire oublié
Avec les médias britanniques qui concentrent son attention sur la « campagne de haine » de que est accusé la presse portugaise contre le couple McCann, le Forensic Science Service –FSS - travaille tranquillement sur une douzaine d’échantillons, rassemblés dans l'appartement 5A de l’Océan Club, et à plusieurs autres endroits de Praia da Luz mais aussi dans 12 voitures et fourgons. Les échantillons ont été rassemblés avec l'aide d'une équipe spéciale de la police britannique, pendant les dernières semaines de juillet.
Le rapport final, qui est prêt depuis quelque temps, sera envoyé au Portugal dans les prochains jours. La Police Judiciaire à demandé au couple McCann de rester jusqu'à ce que les résultats soient arrivés, afin de les aider dans les procédures qui vont suivre, aussi tôt que tous les résultats seront avec CID portugais. Les résultats de l’analyse de deux des échantillons les plus importants, sur le point de vue des médias, sont disponibles depuis quelques semaines.
Le sang trouvé dans le mur de l’appartement ce n’était pas celui de Madeleine, mais d'un mâle, comme The Times l’à publié le 16 aout. L'analyse des traces de fluides humains trouvés à l’intérieur de deux voitures recherchées par Police est également finie depuis plusieurs semaines. En attendant, le Daily Mail a publié une histoire, le 31 août, au sujet des résultats de l'analyse allant à la police de Leicestershire.
L'histoire est uniquement classifiée comme «une plaisanterie », parce que l'analyses ont été demandées directement au Forensic Science Service par le Procureur du Ministère Publique, qui est responsable de l’enquête et, comme le criminaliste Moita Flores a dit, «le magistrat est la seule personne qui à la capacité légale et l'autorité de recevoir ces résultats. Ils ne peuvent jamais être envoyés à la police britannique. »
Tout en attendant le rapport officiel des examens, la Police Judiciaire, avec l'aide de la police britannique, recherche les contacts et des informations sur les liaisons personnelles, professionnelles, et les relations d'affaires d'autres membres de la famille McCann.
Cette recherche prétend aider à clarifier les nombreux rapports contradictoires que les témoins dans ce cas-ci ont faits. Plusieurs membres de la famille du couple McCann on dit aux journalistes que Gerry et Kate leur ont dits «qu’ils ont craint qu'ils aient été observés dans les heures avant le kidnapping », comme The Scotsman a écrit. Mais ils tous les deux nié l’avoir dit, en parlant avec la police.
Duarte Levy & Paulo Reis
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire