Maddie : le troisième homme

La nuit de la disparition de Madeleine McCann, Robert Murat et Sergey Malinka on parlé par téléphone à plusieurs reprises. Il s’agit d’un fait déjà établie par les vérifications faites par la Police Judiciaire. Pendant leur interrogatoire, et en réponse à plusieurs journalistes, Robert Murat, 33 ans, affirmait être chez sa mère, au lit, hors qu’il habite normalement dans un appartement en dehors de Praia da Luz. Des témoins on affirmé que cette nuit la, il est sortie de chez lui… on l’a vu à l’Océan Club, le complexe touristique d’où Maddie est disparue.

Robert Murat à été très présent auprès de la police et des journalistes dans les jours qui on suivi le kidnapping de Madeleine. Son comportement et ses affirmations on fini par réveiller la suspicion auprès des investigateurs et de plusieurs journalistes, notamment Lori Campell du Sunday Mirror. La journaliste anglaise à raconté à la police que Robert Murat à toujours dit, à propos des recherches, « qu’il serait trop tard » ou encore « elle est déjà en Espagne ».

Plus étrange encore, avant que la police l’amène pour interrogatoire, il loue, en catastrophe, une voiture de location… affirmant que la sienne était utilisée dans les recherches, fait que s’est avéré faux. Plus tard, son ami Tuck Pride – qui lui fait office de porte-parole – vient dire à la presse que la voiture personnelle du suspect « était en panne ».

Dans les cassettes vidéo saisies par la PJ on voit Robert Murat qui tue des animaux, sans qu’on sache qui à procédé à l’enregistrement, ni pourquoi… le contenu des autres cassettes n’est pas connu.

La police portugaise à utilisé, dans les fouilles de la maison de la mère de Robert Murat, “équipement de haute technologie” que a permis de vérifier l’existence d’endroits caches et s’il y aurait quelqu’un vivant dans des caches. Une information confirmée par le porte-parole de la PJ. Des appareils pour détecter des formes suspectes enfouis dans le sol on également été utilités.

Une cache, sous la maison, à été mise à jour et son contenu vérifié (voir photo). Il s’agit d’un local aménagé au moment de la construction de la maison.

Les investigateurs on fouille tout le terrain au tour de la maison, notamment une zone vert ou il y aurait des palmiers plantés récemment.

Les chiens pisteurs n’on pas été utilisés car dans la propriété il y a déjà quatre chiens: “dans ce cas ci, il est inutile de les utiliser”, à expliqué un maitre-chien. Pendant les investigations, la PJ a saisie des ordinateurs, des téléphones portables, des cassettes vidéo et plusieurs documents. Dans l’ordinateur de Murat la police à découvert des courriers cryptés et des traces de son passage par des sites pédophiles.

La police à vérifié ses relations dans la société immobilière Romingen, ou il est associé à Michaela Walczuch, une allemande de 33 ans, marié avec un portugais – Luis Antonio. Il s’agit d’un portugais qui s’occupe des jardins et des piscines dans plusieurs maisons du village, notamment chez Murat et à l’Océan Club. Malgré son mariage, Michaela à une relation amoureuse avec Robert Murat.

Robert Murat, est aujourd’hui inculpé, mais en liberté surveillé. L’anglais, vu ces activités dans le secteur immobilier, aurais accès à plusieurs maisons et appartements. Il continue à ne pas expliquer ses mouvements ni ses connections, notamment à Sergey Malinka.

Au départ des appels téléphoniques de Robert Murat, la PJ est arrivée à Sergey Malinka, un jeune informaticien de nationalité russe, établie à Praia da Luz en provenance de Moscou.

Sergey Malinka, 22 ans, affirmait ne pas avoir parlé avec Murat depuis un an. Dans une entrevue à Sky News, il affirme n’avoir que des relations professionnelles avec l’anglais… il confirme ses affirmations comme quoi il n’aurait pas vu, parlé ou rencontré Robert Murat depuis long temps : « plus d’un an », dans ses propres paroles.

Interrogé à plusieurs reprises par la Police Judiciaire, le russe nie tout contact avec l’anglais… il n’arrive pas à justifier ses mouvements la nuit du kidnapping.

L’appartement ou Malinka vie avec ses parents, situé à 500 mètres de l’Océan Club, à été fouillé et la PJ à saisie, entre autres, deux ordinateurs. Après ses interrogatoires, le russe continue à nier toute relation avec Murat et le Royaume-Uni… Des preuves on été établies comme quoi Malinka et Murat on une relation qui va plus loin que la simple relation de travail. Plus, son nom est donné comme associé sur deux affaires : « Island Expéditions » et « Inter-Net I.T. ». Un citoyen anglais nommé Matthew Fazackerley, à qui, une source proche de l’enquête, attribue certaines « liaisons » dans le village d’où est originaire Madeleine McCann, est l’associé de Malinka dans les deux affaires.

Ses activités professionnelles sont un véritable mystère car, à titre d’exemple, l’adresse d’Island Expéditions à Lagos correspond à un café.

La presse, divulgue alors que Sergey Malinka aurais un casier judiciaire pour des crimes sexuels. SOS Madeleine, à contacté le porte-parole de la PJ, et à pu établir que le russe n’a pas de casier judiciaire au Portugal. Par contre, il aurait bien un casier judiciaire à l’étranger et une liaison, encore à préciser, avec un établissement pénitencier pour jeunes femmes, le « Ryazan High Security Colony » à Moscou.

Curieuse, la rapidité et l’inquiétude de l’ambassade russe à Lisbonne à se manifester auprès de la PJ à propos des interrogatoires du russe : certaines sources parlent même d’un passeport diplomatique, ce qu’Olegário de Sousa, porte-parole de la police, n’a pas voulu confirmer ou démentir.

Des preuves on été apportés comme quoi les deux – Murat et Malinka - se sont parlé au téléphone la nuit de la disparition, mais aussi qu’ils se sont retrouvés les jours qui on suivi… au moins une de leurs rencontres est enregistré par des cameras de surveillance.

Les deux hommes se sont refusés à expliquer à la police le contenue de leur appel téléphonique, la nuit du 3 mai.

Le porte-parole de la Police Judicaire, l’inspecteur Olegário Sousa, en conversation téléphonique, confirme que l’enquête progresse mais que la PJ à décidé de travailler plus discrètement et de ne pas fournir des éléments à la presse.

Le troisième suspect... et une théorie

Les examens effectués par la police scientifique, on révélé des traces d’un inconnu qui aurais été dans la chambre d’ou Madeleine McCann est disparue la nuit du 3 mai.

“Nous avons de l’ADN que ne correspond pas à la famille”, souligne une source proche de l’enquête. Le problème maintenant c’est de mettre un nom sur cet indice…

La PJ à concentré ses investigations, dans un premier temps, sur neuf personnes qui logeaient à l’Océan Club. Touts les appartements et maisons des environs on été visités par la police. Plus de mil personnes on été entendues ou contactés par les enquêteurs… et, malgré les pistes déjà investigués à l’étranger, l’attention de la police se concentre, à chaque fois, sur le village de Praia da Luz.

Une source proche de l’enquête parle même d’une théorie – ceci ne reste qu’une teorie tant qu’il n’y aura pas de preuves – ou il y aurait au moins trois personnes : celui qui à les parents à l’œil pendants qu’ils sont au restaurant, celui qui fait le guet et, le troisième élément, celui qui est rentré dans la chambre. Maddie aurais été transporté dans les environs et, probablement, changé d’endroit, en catastrophe, au moins une fois…

Mais, - il s’agit d’un fait important – les parents on réagi comme personne ne pouvait s’attendre… même pas les kidnappeurs : ils on réussi à créer une véritable chaine de solidarité et de pression. Plusieurs millions de personne, sur touts les continents, on déjà vu les photos de Maddie. La plupart des polices en Europe on déjà été mises à contribution, et, en Espagne et aux Pays-Bas, leur travail à été très important.

Le fond crée pour financer les recherches de la petite britannique est devenu énorme ce que peux mettre en péril les kidnappeurs : l’argent peux motiver plus d’un à parler.

Cette théorie n’explique pas ou se trouve Maddie, ni pourquoi on l’a enlevée, mais la suite des événements nous dira un peux plus… bientôt.