On ne sait pas, pour le moment, s’il y aurait une liaison entre le couple italo-portugais et Robert Murat, le britannique inculpé dans le cadre du procès de kidnapping de Madeleine, mais, avance la même source, « plusieurs possibilités sont encore sous investigation », même si la clé de l’enquête se trouve dans le village d’où est disparue Maddie. Robert Murat devra être interrogé à nouveau « suite au résultats des vérifications faites ».
« Chaque personne est responsable de ses actes et Robert Murat devra répondre des siens », affirme la Police Judiciaire, confronté avec les différentes entrevues de l’inculpé publiés par des journaux britanniques. Murat n’à pas respecté l’obligation du secret de justice – stipulé par sa situation d’inculpé – et il est possible que le Ministère Publique soit obligé d’intervenir. « Pour le moment il n’y a pas de procès ouvert mais ça reste une possibilité », affirme la PJ.
Antonio Toscano cherche de la publicité
Les récentes affirmations de l’espagnol Antonio Toscano – notamment en entrevu à « SOS Madeleine » - et sa venue à la Police Judiciaire de Portimão n’on pas fait changer la PJ de position : « il n’est pas crédible ». Contrairement aux déclarations de l’espagnol à la presse, la direction de la PJ maintien que les affirmations et les documents « n’on aucun rapport avec le cas de Madeleine ». La même source de la Police Judiciaire va plus loin et affirme : « Antonio Toscano recherche de la publicité. Il cherche à se faire connaître par tout les moyens… il aurait un livre à publier, je ne serais pas surpris ».
Questionné à propos des motifs qui on justifié la dernière venue d’Antonio Toscano au Portugal, la même source avance « il nous à demandé d’être entendu à nouveau car il aurait des documents importants à nous transmettre, nous les avons reçu », soulignant encore que la date choisie par l’espagnol « n’est pas innocente ». « Comme par enchantement, il est venu le même jour ou toute la presse était la pour la confrontation de Murat avec les trois amis du couple McCann ».
« SOS Madeleine » à pu avoir accès à une partie des informations contenues dans les documents livrés par Antonio Toscano à la PJ et rien n’y figure que puisse être lié directement à la disparition de Madeleine McCann.
L’existence des réseaux de pédophilie n’est pas mise en cause – et les dernières opérations de la police dans plusieurs pays de l’Europe sont la preuve qu’il y a encore beaucoup de travail à effectuer – mais les propos d’Antonio Toscano « n’on pas contribué à l’avancement de l’enquête ».
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