UN APPEL “CREDIBLE”

On revient sur l’appel téléphonique reçu par la police espagnole à propos de Madeleine McCann. Démentie dans une première version par le porte-parole de la police, il est donné comme authentique par une source de la Guardia Civil et par des agents de Scotland Yard à Londres.

L’appel mystérieux, donné par la police comme crédible, à été fait depuis un portable prépayé (sans abonnement) enregistré en Argentine, en Amérique du sud. Si le téléphone est enregistre dans ce pays, l’appel a été fait, probablement, depuis l’Europe. Pour info, un grand nombre de sud-américains vie en Europe, notamment en Espagne – nous avons appris que des portables sud-américains sont souvent vendues et utilisées en Espagne dans certains milieux du la difficulté à les identifier.

Crédible ou pas, une source proche des autorités britanniques espère qu’il peut apporter une piste à propos de la localisation de Maddie. L’auteur de l’appel aurait exigé de parler avec les parents et a convenu d’une heure précise pour un deuxième appel, ce que n’est jamais arrivée. Gerry et Kate McCann – à Berlin au moment de l’appel – on même retardé leur départ vers Amsterdam afin d’être disponibles pour le contact.

Les parents sont encore dans l’attente d’un appel avant demain, dimanche, et leur départ vers le Maroc, pays ou ils on prévu une série de contacts avec la presse afin de mieux divulguer la disparition de leur fille. Après le voyage de demain, Kate and Gerry McCann on prevu de marquer une pause afin de mieux déterminer la stratégie à suivre pour continuer les recherches de Maddie. Il on déjà annonce rester au Portugal au moins jusqu’en septembre.

Confrontes à la possibilité que leur fille soit morte, possibilite qu’il on toujours rejetée, les parents de Madeleine préfèrent penser qu’ils sont à un appel de retrouver la petite. Rappelons que Maddie, quatre ans, à été kidnappé il y a 37 jours.

Une source de la police, site par la presse britannique, confirme l’existence de l’appel fait à la police espagnole: “l’appel venait d’un prépayé mais il y a assez d’information pour savoir d’ou la carte est originaire”. La seule question qui reste c’est de savoir « d’où l’appel a été fait » car on peut l’avoir fait de n’ importe où dans le monde.

Si le porte-parole de la police espagnole à démentie l’existence de l’appel dans un premier temps, une source de la Guardia Civil, cité par le « Correio da Manhã » réaffirme son existence et qu’il y avait assez d’information pour justifier le contact avec les McCann. Le journal portugais affirme même que l’appel été plus crédible que les centaines d’autres reçues auparavant à cause « des détails données pendant l’appel ».

Malgré plusieurs tentatives de rétablir le contact avec le mystérieux appelant, il n’y a pas encore de suite connue.

DEMAIN LE MAROC

Apres le Vatican, Madrid, Berlin et Amsterdam, les McCan on prévu s’envoler vers le Maroc demain matin.

Dans son blog, Gerry McCann écrit que malgré la médiatisation “phénoménal” généré pendant leurs déplacements, il était temps de marquer une pause. « Après le Maroc nous allons faire une pause et décider d’une stratégie à long terme. Je ne suis pas convaincue que visiter d’autres pays en Europe et avoir des conférences comme celles de Berlin et Amsterdam, puisse nous aider », écrit le papa de Maddie dans son blog (www.findmadeleine.com).

Aujourd’hui le couple compte passer le temps avec les jumeaux, Sean et Amélie, et préparer la visite au Maroc, pays on la presse n’a pas encore donné assez de divulgation à la disparition de Madeleine. Les parents de Maddie vont faire voyage en avion de Lisbonne à Casablanca et relier Rabat par la route.

Le Maroc à été cite à plusieurs reprises dans l’enquête et les McCann, vu la facilite d’accès à ce pays à partir du Portugal, n’acceptent pas le peux de divulgation fait à la disparition.

Il faut quatre heures pour arriver de Praia da Luz à Tanger : la route est assez facile jusqu’au port de Tarifa en Espagne, d’ou il y a un bateau que relie Tanger après un voyage de 35 minutes.

LES HABITUDES PORTUGAISES PEUVENT CHOQUER

Après les parents, voici le moment choisie par la presse de s’attaquer à la police portugaise.

Plusieurs journaux britanniques on montré leur incompréhension face aux deux heures de repas de quatre agents de la PJ portugaise. « The Times » et « The Sun » on publié des critiques à l’égard du fait que quatre agents on mangé dans un restaurant, ou ils on bu du vin blanc et terminé le repas par du café et un whisky.

Critiquer ceci est s’attaquer aux habitudes de tout un peuple : au Portugal – comme en Espagne – on mange deux repas chauds par jour, souvent accompagnés par un verre de vin. Le café et un alcool en fin de repas y sont presque obligatoires.

Face aux critiques, le porte-parole de la PJ, Olegário de Sousa, lui-même visé, à uniquement répondu être libre de faire ce qu’il veut pendant son heure de table. « Quel est l’intérêt de savoir ce que je boit ou mange?” À dit l’Inspecteur questionnant le journaliste: “avez vous vu quelqu’un ivre ? ».

La réaction et les critiques de la presse font suit à l’arrestation, pendant quatre heures, d’un photographe anglais qui avait pris en photo les agents. Au Portugal, la prise de photos, sans le préalable consentement des personnes vises, est considérée crime.


1 commentaires:

  Anonyme

9 juin 2007 à 16:46

lu ça !!!!

TEIXEIRA MENDONCA
Rui Pedro


More informations / Davantage d'informations



Le 04 mars 1998 vers 14.00heures, Rui Pedro, 11 ans, circule avec son vélo dans les environs du domicile familial, en compagnie de son cousin du même âge, lorsqu'il est abordé par un jeune homme du village, Alfonso Diaz, alors âgé de 22 ans. Celui-ci invite les deux jeunes garçons à monter dans sa voiture, une Fiat Uno noire.
Les deux garçons vont demander la permission à leurs parents, mais ne la reçoivent pas. Rui Pedro outrepasse l'interdiction, car sa curiosité est la plus forte : le jeune homme lui propose d'aller "voir des putes", selon les dires du cousin rescapé. Depuis ce moment, Rui Pedro n'est plus réapparu dans son village et le jeune homme qui l'a pris dans sa voiture aurait affirmé, lors d'une audition par la police portugaise, ne rien savoir. Le vélo de Rui Pedro a été retrouvé en-dehors du village.
Pourtant, quelques années auparavant, Alfonso Diaz était photographié par un "journaliste" , et il semblait de toute évidence poser pour lui. Alors, Alfonso, un intermédiaire dans un marché inavouable ?


Un mois après la disparition de Rui Pedro, des témoins l'ont vu à Dysneyland à Paris, en compagnie d'un homme âgé de 40 à 50 ans : il y a été photographié. Cet homme ressemble curieusement à un homme qui vivait dans le proche voisinage de l'enfant, au Portugal.
Depuis Dysneyland, plus de traces de Rui Pedro, mais des indices troublants font penser à l'existence d'un réseau et de complicités :

Dans le village-même de Rui Pedro, un homme est connu pour tourner des films de pornographie et le père de cet homme serait justement rentré de France au Portugal à l'époque de la disparition de Rui Pedro, démis de son poste à l'étranger parce que soupçonné de pédophilie.
Ces deux hommes auraient été entendus par la police portugaise, mais ne seraient pas inquiétés, "faute de preuves suffisantes ".
Les nombreux témoignages reçus par la famille de Rui Pedro après sa disparition et transmis à la police n'auraient pas été contrôlés, les témoins n'auraient pas été entendus (Contrôle réalisé auprès desdits témoins).
Pire encore, des témoignages accusent nommément certains policiers portugais impliqués dans ce qui devrait être une enquête, de savoir mais de se taire et d'exiger que le silence soit maintenu autour de cette disparition inquiétante à plus d'un titre. (Un réseau belge de pornographie impliquant des enfants a été découvert, avec des ramifications au Portugal.).


La maman de Rui Pedro, transfigurée par 4 ans d'angoisses et d'insomnies aurait même reçu des menaces des policiers, car elle les "importunerait" avec ses questions, et ils "ne sauraient que faire" avec les éléments nouveaux qu'apportent des témoignages.
Remarques, questions

Au moment de la disparition de Rui Pedro, en mars 1998, une telle réponse des policiers portugais pouvait encore passer, l'Internet n'était pas encore entré en force. Mais maintenant, pourquoi ces blocages, pourquoi ne travaille-t-on pas sur un niveau international pour vérifier chaque indice ?

Pourquoi les policiers portugais fermeraient-ils le téléphone au nez des personnes qui tentent de les renseigner et/ou de se renseigner sur l'avancement des enquêtes ?

Y a-t-il vraiment enquêtes ?

Pourquoi iraient-ils jusqu'à menacer la maman de Rui Pedro si elle continue de les "harceler" pour qu'ils recherchent son fils, demande pourtant bien légitime ?
Pourquoi les circonstances de la disparition de Rui Pedro, de même que celles des trois autres enfants signalés sur le site de la police judiciaire portugaise, ne sont-elles pas données ou au moins signalées comme disparitions inquiétantes ?

Trois enfants disparaîtraient par jour au Portugal, et ce ne serait pas des fugues : Pourquoi ces disparitions ne figurent-elles sur aucun site de recherche d'enfants disparus, pas même au Portugal ? Les familles ont-elles peur de représailles ? Les force-t-on à se taire ?