Le journal britannique avance encore que les examens font partie de la défense légale du couple face aux accusations de la Police Judiciaire, mais une source proche de l’enquête à déjà confirmé à SOS Madeleine que, "à exister", l’examen en question n’aurait aucune valeur légale auprès de la justice portugaise car il n’a pas été fait par un laboratoire reconnu et dans les conditions imposées par les lois du Portugal.
L’information de l’Evening Standard avance que l’examen aurait été fait par une équipe médico-légale, engagée par les avocats des McCann, au départ de cheveux prélevés sur les jumeaux.
"Je doute même que l’examen a eu lieu car les deux avocats portugais des McCann savent très bien qu’il n’aurait aucune valeur auprès de nos tribunaux", affirme la même source rajoutant que "soit le journal avance n’importe quoi, soit quelqu’un prétend manipuler l’opinion publique".
En déclarations au Times, David Gerrie, un analyste à l'unité médicale de toxicologie du Guy's Hôpital, affirme que : "les traces demeureront dans les cheveux jusqu'à ce qu'ils tombent ou soient coupés. Les cheveux grandissent d’environs 1cm par mois, ainsi pour examiner les données d’il y a cinq mois il faudrait 5cm de cheveux. Un analyste couperait les cheveux en longs segments de 1cm pour analyser chaque mois".
"Il ne faut pas oublier qu’ont parle d’événements qui datent du 3 mai et que les examens, à exister, ont été effectués des mois plus tard. Il serait probable, en ce moment, de ne rien trouver dans un examen toxicologique car il aurait suffit de leur couper les cheveux", affirme un expert de l’institut médico-légal portugais soulignant que "l’enquête concerne leur fille Madeleine et non les jumeaux".
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