Le Sunday Mirror l’avance aujourd’hui : Kate McCann à vite crié à l’enlèvement car le doudou de sa fille, au moment ou elle est rentré dans la chambre, était placé dans un endroit ou une fillette de quatre ans ne pouvais pas accéder.
Le journal britannique, affirme que l’endroit ou se trouvait le petit joué rose favori de Madeleine McCann est considéré comme une preuve évidente que Maddie à été enlevée pendant son sommeil et non tué dans la chambre comme la presse portugaise ne cesse d’annoncer.
Une des questions que les McCann n’on pas pu discuter ou aborder publiquement, à cause du secret de justice imposé au Portugal, est celle des tours de garde des enfants la nuit du 3 mai. Mais, si on tient compte du fait que
« Quand Kate a mis Madeleine au lit, Madeleine serré étroitement le jouet dans ses bras, comme elle le faisait chaque nuit. Ainsi Kate a été terrifiée quand elle l'a repérée dans un endroit trop haut pour qu'elle atteigne. Kate a également noté que la fenêtre a été ouverte. C'était la raison pourquoi elle n'a eu aucun doute que Madeleine avait été enlevée… » Affirme une source de la police cité par le Sunday Mirror.
Le fait que la police n’a pas trouvé aucune trace d’empreintes ou d’ADN dans le joué de Madeleine, laisse penser que le kidnappeur avait des gans et que tout avait été préparé soigneusement. Ce que peux être confirmé par le cour lapsus de temps qu’il à eu pour procéder à l’enlèvement, sécurisé, probablement, par la routine des McCann depuis leur arrivé à Praia da Luz.
Les résultats ADN des traces trouvés dans le mur – et dans un rideau de la chambre comme l’avance le Jornal de Noticias dans son édition de ce matin – sont attendus cette semaine, mais même la police n’y croit pas. Si le sang trouvé été frais – partant du principe qu’il s’agit de sang – le premier passage de la police scientifique l’aurais trouvé.
Le couple McCann est, depuis quelques jours, cible de plusieurs accusations de la part de journaux comme Correio da Manhã, 24 Horas, Sol, parmi d’autres, sans que pour autant on puisse avancer les faits à la base de ses suspicions. Même en France et en Belgique, ou l’affaire n’est suivi que via les dépêches d’agence, les journaux on fait éco des titres de la presse portugaise.
2 commentaires:
12 août 2007 à 18:16
Uma história mal, muito mal contada, parece. Crescentemente.
( Paulo? ).
Abraço,
16 août 2007 à 09:42
sans son doudou, j'avais vu que sa maman le faisait benir par le pape...
comme elle a dut se sentir perdu sans cette peluche qui la console..
c'est le detail le plus terrible de l'histoire...
ce monstre aurait au moins put lui emmener son doudou...
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