Un projet « Madeleine McCann »

Après la disparition de Madeleine McCann, et l’énorme médiatisation du cas, la pression n’arrête pas d’augmenter, partout en Europe, en défense de la création d’une base de données d’enfants disparus.

Pour le moment, au sein de la communauté européenne, il n’y a pas une base de données que puisse être accessible aux différentes forces de police. Même si la collaboration entre le Portugal, le Royaume-Uni, l’Espagne et les Pays-Bas à fonctionné dans le cas de Madeleine, certains points négatives on été soulevés : malgré l’envoi immédiat, partout en Europe, de la photo de la petite britannique, dans certains pays elle n’a été disponible, dans les commissariats, que quelques jours après sa disparition

C’est pourquoi le député Gary Titley à écrit au Commissaire Européen en charge de la Justice, Franco Frattini, à propos du nombre grandissant d’enfants disparues en Europe chaque année, souvent victimes d’offenses sexuelles.

Le député demande la création d’une base de données des enfants disparues, avec toutes les informations nécessaires, mais aussi la création d’un numéro unique de téléphone, valable partout en Europe, car avec « 27 pays membres, ou les gens sont libres de voyager, vivre et travailler, les cas d’enfants disparues va devenir un problème entre états ».

En Belgique, après la création de Child Focus, le 110 est devenu le numéro de référence dans les cas de disparitions d’enfants et jeunes, hors que dans la pluparts des pays ce numéro n’existe pas, ou il est différent.

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