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Il ne faut pas oublier, affirme Olegário Sousa, que "pendant ce mois nous avons eu beaucoup de diligences sur le terrain: des contrôles, déplacements d’inspecteurs a plusieurs pays étrangers, examens en laboratoire, des milliers de kilomètres parcourus par nos voitures et notre personnel, sans oublier le travail fait au niveau de la communication et en informatique”. L’Inspecteur-Chef va plus loin et confirme que « il n’y a qu’un seule procès qui aurais coute plus cher à la PJ: le dossier Casa Pia (démantèlement d’un réseau de pédophilie au Portugal).
Pourtant, malgré les couts élevées, Olegário Sousa maintien sa décision de continuer avec les investigations “de la même manière, avec les mêmes moyens ». parce que même si beaucoup de jours sont passes, certaines portes se ferment mais il y a encore beaucoup de possibilités dans l’air, et beaucoup de travail à faire ».
L’Inspecteur-Chef de la PJ, après 30 jours, considère que “rien ne peux nous amener à penser que
"Nous continuons à admettre que celui qui a pris l’enfant pouvait vouloir demander une rançon mais qu’il aurais paniqué avec la médiatisation de l’affaire. Qui auraient le courage de demander de l’argent contre la petite, quand son image parcours le monde ? » - Questionne Olegário Sousa, pour qui il est encore plausible que « le kidnappeur puisse avoir l’enfant bien gardé, étant plus proche qu’on le croit ».
L’autre mobil pris en compte est celui des abus sexuels. « Le kidnappeur peux est un prédateur sexuel que, une fois satisfait, s’aurais débarrassé du corps ». On peut l’avoir enlevé pour l’adoption… Il y a encore la possibilité, « terrible, sans aucune doute » que le kidnapping soit lié à la pédophilie associé à la pornographie infantile. Mais tout est sous investigation... Olegário Sousa maintien sa détermination: « nous allons continuer jusqu’à qu’on trouve Madeleine ».
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