La police poursuit les investigations après les funérailles de Mari Luz

3d69b496f4ba1814c6c50d10b8f1c043.jpgMalgré les funérailles de Mari Luz Cortés, qui ont eu lieu cette après-midi dans la ville espagnole d’Huelva, la police continue son travail d’investigation pour déterminer les causes de la mort et l’heure exacte du décès, tout portant à croire que l’enfant serait décédée dans les 24 ou 48 heures qui ont suivi sa disparition.

La police cherche à connaître l’endroit ou le corps aurait pu avoir été jeté dans le fleuve, ayant recours à des experts pour détailler les courants et les marées.

Les examens provisoires écartent le viol mais ils ont, toutefois, révélée deux coups ante-mortem : un sur le crâne et un autre sur le flanc.

Toutes les possibilités sont étudiés par les investigateurs qui ont, aujourd’hui, abordé l’hypothèse de que Mari Luz aurait été renversé accidentellement par une voiture et que l’auteur aurait pu se débarrasser du corps.

Les investigateurs considèrent également la possibilité d’une chute accidentelle dans un collecteur d’eaux proche de sa maison et être ensuite entraînée par les marées, une fois que le cadavre ne présentait pas les blessures de crabe, caractéristiques d’un corps qui aurait séjournée aussi longtemps dans les eaux de la rivière.

Les funérailles de Mari Luz, âgé de cinq and, se sont déroulées à Huelva dans l'émotion et en présence d'une foule importante, dont des nombreux amis de la famille et voisins.

La disparition de Mari Luz avait crée une vive émotion en Europe : la presse britannique a citée le cas à plusieurs reprises comme ayant un rapport avec la disparition de Madeleine McCann, ce que les autorités portugaises et espagnoles ont toujours nié.

En Espagne la police à reçu des fausses demandes de rançon. De l'Italie, est venu l'information de que Mari Luz s'y trouvais, donnant des faux espoirs aux parents, et en France une prétendu association avait crée le "blog officiel" de l'enfant, allant jusqu'à intimider ceux qui ont voulu aider les recherches en Europe et dans le monde, se réclamant titulaire d’une "exclusivité" de la divulgation du cas de Mari Luz.

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