"Avec le statut d’arguido (suspects formels), leur retour pourrais provoquer une nouvelle frénésie des média", justifie Clarence Mitchell.
Kate et Gerry McCann ont quitté le Portugal en septembre, comme suspects formels de la disparition de leur fille, et après leur avoir été imposé la mesure de coercition la plus légère que la loi portugaise prévoit, déclaration d'identité et de résidence. Une mesure que devra se maintenir jusqu’à la fin de l’enquête, comme le savent leur avocats portugais, Rogério Alves et Carlos Pinto de Abreu.
Après leurs interrogatoires à la Police Judiciaire de Portimão, malgré leur statut de suspects, le couple McCann à pu rentrer à Rothley, ou ils étaient attendus par la famille. Le Foreign Office avait été informée préalablement de la démarche du Ministère Publique portugais, ce qu’à permis à la diplomatie britannique de négocier la situation du couple, empêchant notamment que leur soit retirée la possibilité de voyager, comme prétendais la Police Judiciaire. C’est David Miliband en personne, le responsable du Foreign Office, qui avait réaffirmé, au mois de septembre, en déclarations au Times, que ses services "continuerons à donner un appui consulaire étendu" au couple McCann, contrastant avec l'appui refusé à l'autre suspect britannique, Robert Murat.
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